Le CBD :

Le CBD, sujet intéressant mais qui rencontre diverses polémiques.

Le Cannabidiol plus connu sous le nom de CBD à connu dans ces début bien des déboires auprès des médias pour son opinion négative car associé au cannabis. 

Contrairement au THC, considéré comme un stupéfiant qui tombe sous le coup de l'article 222-37 du code pénal, le CBD en tant que tel n'est pas considéré comme un produit stupéfiant et n'est donc pas interdit par la loi.

Santé : tout sur le CBD

C’est quoi le CBD au juste ?

Commençons par un peu de science: le cannabidiol (CBD) est un cannabinoïde, l’une des molécules prédominantes qui composent la fleur du cannabis. Sa configuration moléculaire se rapproche de la molécule de tétrahydrocannabinol (THC), également présente dans la fleur de cannabis à son état le plus naturel. « Le CBD est reconnu médicalement, on le retrouve même dans certains médicaments vendus en pharmacie (Sativex), et n’est en aucun cas considéré comme une drogue en Belgique, à l’inverse du THC », nous apprend Lucas Lescalier, gérant d’un magasin de CBD à Rixensart.

Contrairement au cannabis « illégal » vendu sur le marché noir, les plantes de CBD sont modifiées génétiquement au préalable pour réduire le taux de THC. La modification génétique est un système de bouturage, c’est-à-dire un système de greffes réalisées sur des variétés de fleurs de chanvre ayant déjà un faible taux de THC. L’opération est répétée jusqu’à l’obtention d’un taux de THC inférieur à 0.2%. On le retrouve ensuite sous forme de fleurs, d’huiles ou de cosmétiques. 

En résumé, le CBD est une partie de la fleur de chanvre de laquelle on a extrait toutes les substances nocives, parmi lesquelles le THC, pour éviter de ressentir cet état de « défonce ».

Qu’est-ce qu’on garde alors ?

Le THC et le CBD sont radicalement différents. Le THC apporte des effets plutôt perçus comme négatifs (psychoactifs, psychotropes, psychosomatiques) qui le placent dans la catégorie des drogues douces. D’où l’interdiction de cultiver, de fumer et de vendre du cannabis.

Le CBD quant à lui n’a pas d’effets psychoactifs décelables. Selon les résultats d’études pré-cliniques, il aurait justement des effets relaxants et certaines propriétés médicinales pouvant jouer sur :

  • L’anxiété et la dépression : un anxiolytique efficace permettant de réguler l’humeur et d’éviter les phases dépressives

  • La douleur et l’inflammation : bonnes propriétés antalgiques et anti-inflammatoires

  • L’épilepsie : efficace chez certains patients touchés par des formes graves d’épilepsie réfractaires aux médicaments classique

  • La schizophrénie : utilisé principalement comme antipsychotique

  • Les nausées et vomissements : possède des propriétés antiémétiques aidant à lutter contre les nausées et vomissements dus aux effets secondaires d’une chimiothérapie.

https://www.oursvapoteur.fr/331-cbd

Je vais laisser les spécialistes en parler avec cet article de LFEL (Laboratoire Français du e- liquides) :

Dans un récent article « Avis d’experts », le LFEL (Laboratoire Français du e-liquide) présente une étude sur l’impact de l’inhalation de liquide au CBD afin de répondre aux interrogations des consommateurs. Selon les conclusions apportées il n’y aurait pas de risques dans le fait de vapoter du CBD. 


LE CONSOMMATEUR DE CBD PEUT AVOIR L’ESPRIT TRANQUILLE SELON LE LFEL


Le Cannabidiol, appelé CBD, est devenu un vrai sujet de débat et d’actualité dans les médias mais aussi dans les boutiques spécialisées dans la vente de cigarette électronique et auprès des consommateurs.

L’opinion négative sur le CBD vient du fait qu’il est trop souvent associé à l’usage récréatif du cannabis. Confondu avec le THC, molécule responsable des effets euphorisants de la plante, le CBD se distingue pourtant du THC au regard des effets qu’il procure bien que les deux composés soient extraits du cannabis.

Le CBD est depuis quelques années largement étudié par de nombreux laboratoires notamment dans la recherche d’agents thérapeutiques pouvant soulager certaines pathologies spécifiques.

Aujourd’hui, les consommateurs s’interrogent sur l’influence du CBD sur les tests salivaires réalisés notamment par la police lors d’opération de contrôles routiers par exemple.

Aussi afin de s’assurer que les e-liquides au CBD ne génèrent pas de résultats positifs au niveau des tests salivaires et urinaires, le LFEL a réalisé une étude sur l’impact de l’inhalation de liquide au CBD. Ainsi, nous répondons aux interrogations des consommateurs et démontrons que « vaper » du CBD ne présente pas de risques et ne peut être associé au cannabis récréatif.

Les tests salivaires et urinaires (4 tests/personne) ont été construits à partir de 3 différents types de testeur/consommateur :

  • Les consommateurs de CBD vapé
  • Les consommateurs de THC fumé
  • Les non-consommateurs

Ces tests ont été réalisés sur une période de 2 semaines (tests salivaires = juste après une consommation de CBD puis toutes les 20 minutes sur une période de 2h, toujours après consommation de CBD/ tests urinaires = au bout de 24 h de consommation de CBD puis au bout d’une semaine).

Les tests ont démontré que malgré les différents types de prises, représentant des quantités de CBD inhalées importantes, les résultats restaient négatifs pour tous les consommateurs de CBD. Evidemment, les contrôles positifs (THC fumé) ont tous été positifs aux différents tests.

L’étude montre donc que le vapotage du CBD ne présente pas de risques. La molécule du CBD est tout à fait indépendante du THC. Le consommateur peut avoir l’esprit tranquille dans sa consommation de CBD, une bonne nouvelle pour le monde de la Vape !

https://www.oursvapoteur.fr/331-cbd